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Jobs et carrière

De la cuisine diététique au service externe

Caroline Stalder a rejoint Helvetia début mai au poste de conseillère clients au service externe. Avant d’exercer cette fonction, elle était cuisinière en diététique dans une clinique privée. Dans un entretien, elle nous révèle les raisons de ce changement.

17 juillet 2020, texte: Senada Kadic, photo: Caroline Stalder

Caroline Stalder est assise dans la cuisine devant son ordinateur portable.
Désormais, elle cuisine juste pour le plaisir. Caroline Stalder est devenue conseillère clients au service externe, un choix dont elle se félicite.

Chère Caroline, tu as rejoint Helvetia en mai dernier. Que faisais-tu jusqu’ici?

Après ma formation de cuisinière, j’ai suivi une spécialisation en diététique. J’ai travaillé dans les cuisines des établissements les plus variés, de la haute gastronomie à la clinique psychiatrique. J’ai même fait un bref passage dans le secteur de la sécurité. Tous ces métiers me plaisaient, mais il me manquait toujours quelque chose.

Quoi donc?

Le contact avec les clients. J’aime le contact humain et le travail d’équipe, mais je voulais par-dessus tout traiter directement avec le client. C’était malheureusement impossible en cuisine, d’où ma décision de chercher un nouvel emploi. Le moment était bien choisi, je venais aussi de faire un peu de ménage dans ma vie privée.

Comment as-tu décidé de devenir conseillère clients au service externe?

J’avais soif de nouveauté. Je me suis rendue au centre d’information professionnelle pour obtenir des conseils. Il s’est avéré que mon profil correspondait aux exigences du service externe. Au début, je me suis dit: «Travailler dans les assurances? Il doit y avoir erreur» (rires). Puis j’en ai parlé à un ami qui connaît le métier depuis un certain temps et l’idée a fait son chemin.

Et ensuite?

Il y avait plusieurs postes vacants de conseillers clients dans de grandes compagnies d’assurance, dont une bonne partie dans ma région. Comme je ne fais jamais les choses à moitié, au lieu de rédiger une seule lettre de candidature, je me suis installée devant mon ordinateur et j’en ai envoyé 60 d’un coup. Ce changement d’orientation professionnelle me tenait vraiment à cœur et je voulais mettre toutes les chances de mon côté. Je n’ai postulé nulle part comme cuisinière, je me suis vraiment focalisée sur le poste de collaboratrice du service externe.

Pourquoi avoir choisi Helvetia?

Je connaissais déjà Helvetia depuis l’enfance, j’avais encore en tête certaines publicités. Cette compagnie m’a toujours inspiré confiance. Peut-être à cause du jingle caractéristique après les spots et des couleurs, à vrai dire je l’ignore. Je me sentais moins proche des autres assurances. J’ai ressenti exactement la même impression après quelques entretiens d’embauche. J’ai écouté mon instinct, au fond de moi je savais qu’Helvetia était faite pour moi.

En parlant d’entretiens d’embauche, comment s’est déroulée la procédure de recrutement?

Après une évaluation en ligne concluante, j’ai été conviée à un entretien par mon chef actuel et un autre chef potentiel. J’ai été conquise d’entrée de jeu: je me suis sentie très à l’aise et j’ai immédiatement pris conscience que j’avais affaire à une équipe de conseillers clients très expérimentés et sympathiques. Ensuite, nous avons décidé ensemble quel domaine conviendrait le mieux pour me mettre le pied à l’étrier. Je dois admettre que le résultat est à la hauteur de mes espérances.

Puis est arrivé le coronavirus: as-tu été en mesure de travailler avec les clients comme tu le souhaitais malgré les restrictions?

Oui, j’ai pu prendre en charge un portefeuille de clients et dès le début, j’ai été formée et très bien encadrée par d’autres collaborateurs du service externe. J’ai déjà pu acquérir mes premières expériences dans la vente. Quant au contact avec les clients, on peut aussi faire des merveilles avec un téléphone ou des réunions à distance.

Dernière question: Un tel changement d’horizon requiert une bonne dose de courage, non?

Oui et non: l’être humain est pétri d’habitudes, c’est un fait, mais il est aussi doté de facultés d’adaptation exceptionnelles. C’est sûr que rendre son tablier pour passer au service externe exige une certaine audace. Mais au final, je ne regrette pas ma décision un seul instant et j’encourage vivement les personnes qui ont des envies d’ailleurs à franchir le pas. Comme je dis toujours: dans la vie, c’est «simple. Il faut oser. Helvetia» – ou plutôt &C’est parti. (rires).

Tu veux aussi changer de cap professionnel et rejoindre le service externe?