La vie ne se déroule pas toujours comme prévu, d’où l’importance de veiller à la sécurité financière des personnes qui nous sont chères. Avec l’exemple de Gabi et Stéphane, nous montrons comment des solutions de prévoyance personnelles permettent de s’assurer qu’en cas de situation critique, le logement commun ne devra pas être vendu pour des raisons financières.
Gabi et Stéphane habitent dans la maison de leur rêve avec leurs deux adolescents. Ils sont devenus propriétaires de leur maison il y a tout juste deux ans, au prix de 800’000 francs environ. Les deux époux gagnent très bien leur vie, Gabi (40 ans) partage la direction d’une agence de publicité à mi-temps avec sa collègue. Stéphane (42 ans) occupe un poste de cadre supérieur dans le secteur informatique. Grâce à un capital propre suffisant, le financement et les frais d’entretien de la maison sont en ligne avec leur budget.
Afin de s’assurer que les coûts correspondent au revenu du ménage, même en cas de hausse des taux d’intérêt, le créancier hypothécaire a calculé la capacité financière en prenant pour base des intérêts hypothécaires de 5% et des charges annexes de 1%. Par ailleurs, Gabi et Stéphane doivent amortir leur deuxième hypothèque de 210’000 francs dans un délai de 15 ans. Sur la base de ces coûts théoriques, il en résulte pour le couple une charge théorique d’environ 30% sur le revenu du ménage. Le maximum admis serait un tiers. La situation est donc satisfaisante. Le couple ayant conclu une solution hypothécaire avantageuse, la charge effective est toutefois plus faible et ils disposent encore d’une marge de manœuvre budgétaire suffisante.
Le collègue de Stéphane a été victime d’un accident de parapente il y a quelques années, ce qui a donné matière à réflexion pour Gabi et Stéphane. Ils ont fait des calculs pour savoir si, en cas d’urgence, ils seraient en mesure de continuer à financer leur maison chacun de leur côté. Pour le savoir, ils ont calculé la capacité financière avec leur revenu individuel respectif. Dans les deux cas, la charge maximale serait dépassée, le financement de la maison ne serait plus assuré, et, dans le pire des scénarios, il faudrait vendre la maison.
Devoir subir une nouvelle perte après un malheur, à savoir quitter son domicile chéri, serait inimaginable pour chaque membre de la famille. Dès l’achat de la maison, Gabi et Stéphane ont donc conclu ensemble une assurance décès à un taux dégressif annuel sur 15 ans afin de couvrir l’amortissement de la deuxième hypothèque. S’il devait arriver quelque chose à l’un des deux, cela permettrait de payer immédiatement le solde de cette tranche hypothécaire, ce qui réduirait les coûts. Pour ce qui est des revenus de Stéphane, le compte est bon. Avec son revenu, la capacité financière serait de nouveau assurée.
Il n’en va pas de même pour Gabi. Bien qu’elle ne gagne pas mal sa vie, si Stéphane venait à mourir, elle devrait en plus pouvoir réduire la première hypothèque restante de 50’000 francs pour la ramener à 340’000 francs. C’est précisément pour cette raison que le couple a conclu une assurance décès à hauteur de ce montant. Ainsi, la capacité financière est également préservée pour Gabi, sans qu’elle soit obligée d’augmenter son taux d'activité.
Le point crucial du financement est la capacité financière. Soucieux de la garantir pour au moins les 15 prochaines années, Gabi et Stéphane versent environ 700 francs par an pour leurs deux assurances risque de décès. Cela est en ligne avec leur budget. Tout comme la garantie de revenu en cas d’incapacité de travail, que les deux ont toutefois réglée depuis longtemps. Avec l’aide de leur conseiller, Gabi et Stéphane ont trouvé leurs solutions de prévoyance personnelles. Grâce à un choix bien précis dans ce domaine, ils ont augmenté la sécurité pour eux-mêmes et leurs enfants.
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